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Nuit d'octobre

Texte : Myriam Boudenia et Louise Vignaud | Mise en scène : Louise Vignaud | Avec : Simon Alopé, Lina Alsayed, Magali Bonat, Mohamed Brikat, Pauline Coffre, Ali Esmili, Yasmine Hadj Ali, Clément Morinière, Sven Narbonne, Lounès Tazaïrt, Charlotte Villalonga | Direction technique, régie générale : Nicolas Hénault | Assistanat à la mise en scène : Margot Thery | Scénographie : Irène Vignaud | Lumière : Julie-Lola Lanteri | Son : Orane Duclos | Costumes : Emily Cauwet-Lafont | Perruques et maquillage : Judith Scotto | Construction du décor : Marc Valladon et l’atelier Phalanstère | Régie lumière : Lou Morel ou Marie Boethas | Régie plateau : Adèle Collé ou Irène Vignaud | Régie son :Clément Rousseaux | Habilleuse : Françoise Léger | Stagiaire perruques et maquillage : Éloise Lammelin | Production et administration : Émilie Leloup –Formica Production | Production et diffusion : Léa Couqueberg –Formica Production | Montage de production : Céline Martinet | Presse : Dominique Racle | Photographies : Monique Hervo / La contemporaine, Bibliothèque, Archives, Musée des mondes contemporaine | Musique : El meknine ezzine de El Badji par Naïma D’Ziria, interprété par Yasmine Hadj Ali.
Remerciements : Jessica et JimCohen, Maison de retraite Le Villard de Champagne-Mouton, Isabelle Briquet, Fiona Antoine-Cleland, JeanPierre Collin, Lucile Niel, Anne Sazerat, Lancelot Rétif, Caroline Sazerat, Yasmina Bedar, Cherif Cherfi, Mohand Mounsi, Philippe Grand, Fabrice Riceputti, LucMichel, école Arts en Scène à Lyon, Eric Zobel, Pauline Noblecourt, Michel Raskine, Alison Cosson, Samuel Gallet, Christian Sebastiani, MTK.

Photographies © Rémi Blasquez

C’est l’histoire d’un trou noir.

La pièce suit les destins de plusieurs duos qui convergent vers le soir du 17 octobre 1961, où, à l’appel du FLN, trente mille Algériens et Algériennes participent à une manifestation pacifique organisée contre le couvre-feu imposé par le préfet Papon. La manifestation est violemment réprimée. Des gens disparaissent. Mais le lendemain, aux informations, le Ministre de l’Intérieur affirme : « il ne s’est rien passé. »En s’attachant aux disparu.e.s et à celles et ceux qui restent, Nuit d’Octobre propose d’interro-ger l’organisation du silence qui entoure les crimes d’état et les conséquences humaines de ce silence.

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